Mercredi 31 octobre 2007 à 23:25

" - Ah ça, pour faire le zouave sur une planche à roulettes, ça y va! Mais pour mettre du bois dans le garage y'a plus personne! - Bah, faut pas s'étonner qu'il y'ait que le bois à roulettes qui m'intéresse... fuck! "

Dimanche 28 octobre 2007 à 22:49

POINT LIMITE ZERO
Kowalski, un ex-flic vétéran du Vietnam, champion de stock-car, parie qu'il ralliera Denver à San Francisco en moins de quinze heures. Les policiers de Californie et du Nevada ne tardent pas à se mettre à sa poursuite ...


PLANET TERROR
Dans une petite ville, William et Dakota Block, un couple de médecins, constatent que leurs patients sont soudain frappés par la gangrène et affectés par un regard vide et inquiétant... De son côté, Cherry, go-go danseuse, s'est fait arracher la jambe lors d'une attaque. Wray, son ex-petit copain, veille sur elle. Mais Cherry a beau être au plus mal, elle n'a pas dit son dernier mot. Tandis que les malades se multiplient et deviennent des agresseurs enragés, Cherry et Wray prennent la tête d'une armée destinée à empêcher l'épidémie de se propager. Si des millions d'individus sont contaminés et beaucoup succombent, une poignée d'entre eux se battront jusqu'au bout pour se réfugier dans un lieu sûr...

Dimanche 28 octobre 2007 à 22:00

Comment en est-on arrivé là ? Pourquoi chaque chose doit appartenir à quelqu'un, pourquoi doit-on toujours pointer le doigt sur quelque chose, responsabiliser toujours quelqu'un pour s'en prendre à lui au final, bonne ou mauvaise moralité, tout nous est dit. Si la cuvette des toilette pouvait parler, elle nous dirait comment déboutonner notre vêtement et même viser là où il le faudrait.

On fait maintenant moins attention à la nature et ses bienfaits que le nombre de chiffre sur notre compte bancaire. Il nous serait impossible aujourd'hui de ne vivre qu'avec un morceau de pain. Mais il y'avait, il y'a quelques années de ça, la possibilité d'y croire. Vivre seulement d'amour et d'eau fraîche, y croire un peu plus chaque jour, arrêter de se prendre la tête pour ce qu'on nous doit, pour ce qu'on mérite, et non pas d'en faire échange, d'en faire du chiffre encore et toujours du chiffre pour l'obtenir. C'était quand même mieux avant, on mangeait ce qu'on récoltait, buvait ce que le puit voulait bien nous offrir, s'amusait avec quelques bâtons et des feuilles, l'eau et le vent de la rivière. On y faisait l'amour jour après jour sans se douter que l'avenir finirait par un mauvais tour...

Dimanche 28 octobre 2007 à 21:21

Bon, sachez que la réserve de patience que j'ai héritée en naissant est comme... comment vous dire... votre virginité. Vous pensiez la garder à jamais jusqu'à cette nuit où, effondrée par les affres de l'adolescence, vous pleuriez sur vous même. Votre pote Kévin qui ne voulait que des relations amicales avec vous, par hasard, passa par là, avec sous le bras un exemplaire de 'au temps en emporte le vent' et une bouteille de rhum... et badaboum s'est enfuis pour toujours... comme ma patience aujourd'hui.

Dimanche 28 octobre 2007 à 14:21

L'art du ridicule ne tue pas.

Il rend plus... plus. Enfin plus quoi.

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